Réalisations 2019 - 2020

  • Ouvrage collectif « Faire face aux risques en agriculture. Perspectives croisées de chercheurs et de professionnels »

Co-édité par Sylvie Lupton, Véronique Chauveau et Hanitra Randrianasolo-Rakotobe, cet ouvrage rassemble les contributions écrites de chercheurs et de professionnels présentées lors du colloque des 22 et 23 février 2018 au Collège des Bernardins. Vous trouverez la table des matières ici et la vidéo présentant l’ouvrage ici.

Lire la suite...

REALISATIONS 2018 - 2019

Chartier A. et Lupton S. (2019), Gestion individuelle et collective des risques climatiques. Retour d’expérience des pratiques des viticulteurs de Touraine, Colloque UNIVIGNE, Reims, 23-25 Janvier.

Anne Chartier et Sylvie Lupton ont repris les entretiens retranscrits par les étudiants en 4A CPE sur les risques climatiques en viticulture, et ont présenté un papier de recherche au colloque UNIVIGNE (Université de Reims Champagne-Ardenne, NEOMA Business School). Ce papier sera publié dans un ouvrage collectif.

Lire la suite...

Réalisations 2017 - 2018

Deux interventions aux Journées de Recherche en Sciences Sociales https://www.sfer.asso.fr/event/view/10 qui feront l'objet d'une publication dans des revues à comité de lecture

  • Sneessens I, Ingrand S., Randrianasolo H. et Sauvée L. (2017), A quantitative approach to assess farming systems vulnerability: an application to mixed crop-livestocksystems , JRSS, 14-15 décembre, ISARA, Lyon
Lire la suite...

Etat des connaissances sur les risques en agricultures

Ble1

La recherche académique a d’abord établi une analyse bibliométrique basée sur 236 articles scientifiques toutes disciplines confondues afin de faire un état des connaissances sur les risques en agriculture pour la période 1990/1994 et 2013/2014.

Cette recherche a permis de démontrer l’importance du traitement des risques sanitaires (44 ,6% des travaux) dans la littérature, ainsi que les risques économiques (volatilité des prix), de production (rendements, sécurité alimentaire) et climatiques qui représentent 26,7% des travaux scientifiques (Sneessens, Ghitalla et Sauvée, 2015) .